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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 09:51
Communiqués de presse

Traité européen


Les Lilas, le 19 septembre 2012

 

 

Investie dans la campagne initiée par le collectif audit citoyen, la FSU met à la disposition des personnels du matériel d’information pour les alerter sur les enjeux du traité européen, son lien avec la construction des futurs budgets, ses conséquences sur les services publics, l’emploi public, les salaires des fonctionnaires… La FSU condamne les positions nationales de l’extrême-droite sur ce dossier.

Elle appelle les personnels à débattre de ce traité, à porter d’autres alternatives et à interpeller les députés pour leur demander de ne pas le ratifier.

La FSU a pris contact avec les organisations syndicales qui rejettent la ratification de ce traité (CGT, SOLIDAIRES, UNEF) et les rencontrera prochainement pour échanger sur les nécessaires débats et actions communes. La FSU pèsera dans cette rencontre pour élargir l’arc syndical des signataires de l’appel « Non à l’austérité permanente - Refusons le Pacte budgétaire, ouvrons le débat en Europe »

Elle appelle d’ores et déjà les personnels à participer aux différentes mobilisations en cours ou à venir, et notamment aux manifestations unitaires organisées le 30 septembre et au-delà.

 

Communiqué de presse de la FSU

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21 septembre 2006 4 21 /09 /septembre /2006 16:42
le 28, mesurons l'ampleur des dégâts !
Bonjour,

"Les décisions budgétaires pour 2007, s'ajoutant aux coupes des années précédentes, conduiront à réduire considérablement les moyens du service public. C'est une politique à courte vue, rétrograde dans ses choix et dangereuse pour l'avenir dont les élèves, les jeunes, tout autant que les personnels vont payer le prix..."

Les organisations syndicales FERC-CGT, FSU, SGEN-CFDT et UNSA Education, soutenues par la FCPE appellent à la grève le jeudi  28 septembre pour dénoncer cette situation.


Nous vous donnons rendez-vous à Nancy à 14h30 place Maginot.
Pour contribuer à alerter sur la situation dans l'éducation, MESURONS L'AMPLEUR DES DEGATS.

Vous trouverez donc ci-joints* :

  • le tract d'appel commun pour le 28 septembre, à afficher, diffuser...
  • le support de l'action "Mesurons l'ampleur des dégats".
Mode d'emploi : photocopier, reproduire ce support sur une feuille A3 (si possible en couleur), et y inscrire un exemple d'absurdité, d'incohérence ou de situation ubuesque existant dans telle école, tel collège ou lycée (un exemple par feuille-support)... l'objectif est de montrer que les budgets précédents ont donné lieu à des situations catastrophiques, et que la préparation du budget 2007 ne peut que laisser présager pire encore !

Chacun(e) est invité(e) à se rendre ensuite à la manif avec son ou ses exemples (il y a du choix !).
Des feuilles A3 avec plein de couleurs seront disponibles le jour de la manif, ainsi que des marqueurs.
Les supports ainsi collectés seront assemblés et déroulés pour être "mesurés" en place Stan'. Ils pourront ensuite être enroulés et apportés au Préfet lors de la délégation.

A jeudi !
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11 décembre 2005 7 11 /12 /décembre /2005 11:39
Elections professionnelles : Une incontournable représentativité

Le résultat des élections professionnelles chez les enseignants montre une progression de tous les syndicats de la FSU dans tous les secteurs : le SNEP avec plus de 83,7% des voix progresse de plus de 2,2 points ; le SNES gagne 0,6 point pour atteindre 51,8% ; le SNUEP conforte son implantation en gagnant plus de 5 points et le SNUIPP dépasse 45% en progressant de 1,1 point.
Ces résultats confirment sans ambiguïté la représentativité de la FSU et de ses syndicats et montrent que leurs orientations et leur syndicalisme rencontrent largement l’adhésion des collègues.
Le gouvernement doit en prendre la mesure et entendre les revendications et propositions dont la FSU est porteuse.
En tout état de cause, ce vote conforte la FSU dans sa capacité et sa volonté de défendre les revendications des personnels et d’agir pour une école de la réussite pour tous.

Paris le 10 décembre 2005

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2 décembre 2005 5 02 /12 /décembre /2005 09:04
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28 novembre 2005 1 28 /11 /novembre /2005 18:57

Retraites / Mise au point : le site national du SNES rend compte des votes du CA de l'ERAFP ...

Le débat est ouvert sur le blog.
Retraite additionnelle de la fonction publique
Compte rendu du conseil d’administration de l’ERAFP - Séance du 10 novembre 2005

Détermination des pensions
La première délibération devait fixer les valeurs du point (achat 2005, service 2005 et 2006), le barème de surcote [1], et le barème de conversion de la rente en capital (lorsque le nombre de points est inférieur à 5 125).
Voir note technique en annexe.
Elle a donné lieu à un débat sur les objectifs de revalorisation de la pension. Les représentants des employeurs et le représentant de la tutelle exercée par l’Etat n’acceptant la formule d’un « objectif minimum de maintien du pouvoir d’achat » que dans la mesure où une telle formulation n’était pas un engagement, engagement qui ne saurait être garanti par les marchés financiers. Ce débat a conforté l’appréciation portée par la FSU d’un régime n’apportant aux personnels aucune garantie.
Pour la FSU, même le maintien du pouvoir d’achat ne saurait suffire. A terme, la référence ne peut être que celle de la croissance, sauf à risquer la paupérisation des retraités. La FSU a rappelé son opposition au principe de la surcote, fondée sur une logique individuelle, contraire au principe de solidarité.
Votes sur la première délibération :
POUR : 9 (CFDT, CFTC, CGC, 5 employeurs, le président) CONTRE 3 (FSU, CGT, FO) Abstention 1 (UNSA)

Tables de mortalité et frais de gestion
Il s’agissait de valider les tables de mortalité certifiées par l’actuaire indépendant et l’estimation des frais de gestion afin que le CA de décembre soit en mesure d’évaluer les engagements du régime.
Le débat a mis en évidence que les tables de mortalité spécifique à la population des fonctionnaires sont mal connues. Les frais de gestion ont été fixés au minimum prévu par le décret.
Votes sur la deuxième délibération :
POUR : 9 (CFDT, CFTC, CGC, 5 employeurs, le président) CONTRE 0 Abstention 3 (FSU, CGT, FO) NPPV 1 (UNSA)

Orientations générales de la politique de placement des provisions pour 2005 et 2006
Fin 2006, les placements doivent correspondre à une partie obligataire située dans la fourchette [84% ; 96%].
La résolution acte ensuite « une démarche d’investissement socialement responsable couvrant la totalité des actifs du régime ». Un groupe de travail sera constitué au sein du CA et qui sera « chargé de préparer la charte de l’Etablissement en matière d’investissement socialement responsable ».
Les représentants de la FSU ont indiqué qu’ils ne prendraient pas part à ce débat sur la politique de gestion des fonds, en cohérence avec leur dénonciation du principe de capitalisation.
Votes sur la troisième délibération :
POUR : 12 (CGT, FO, UNSA, CFDT, CFTC, CGC, 5 employeurs, le président) CONTRE 0 NPPV 1 (FSU)

Orientations de placement pour les prochaines semaines.
Il s’agira uniquement d’obligations publiques, l’ERAFP devant déléguer la gestion des autres types de placement.
De même l’ERAFP n’étant pas prêt à gérer le « risque de change » les obligations seront souscrites uniquement en zone euro. Les Etats concernés ont donc été classés selon des critères financiers, pondérés par un coefficient valorisant le nombre de conventions internationales signées.
Certains représentants des personnels ont avancé l’idée qu’un classement réalisé par une ONG devait compléter ces dispositions. La CFDT avançant Transparency international, que les employeurs ont récusée, il a été acté que le directeur de l’ERAFP devrait s’enquérir de tous les éléments connus sur les Etats en matière de corruption.
Les placements seront diversifiés entre Etats et collectivités publiques.
Même vote que pour la résolution n°3.

Choix de deux commissaires aux comptes après compte rendu des appels d’offre et des travaux du comité d’audit.

Anne Féray
Philippe Dupont

 

 


NB.

[1] Le décret du 18 juin 2004 prévoit que le montant de la pension s’élève avec l’âge de liquidation.

 

 

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28 novembre 2005 1 28 /11 /novembre /2005 18:51

 

*CFTC – CGC – CGT – FO - FSU *

Le 6 décembre le ministre de la fonction publique réunit les
organisations syndicales représentées au Conseil Supérieur des Fonctions
Publiques pour engager une série de « négociations ».

Les personnels ont à plusieurs reprises et notamment le 4 octobre
exprimé leur exigence de négociations portant prioritairement sur le
pouvoir d'achat et la revalorisation du point d'indice.

Les fédérations de fonctionnaires CFTC, CGC, CGT, FO, FSU appellent les
personnels à intervenir dès le 5 décembre pour renouveler ces exigences
à travers des formes d'actions décidées localement de façon unitaire :
rassemblements, délégations, heures d'informations syndicales, motions.....

En Meurthe-et-Moselle la FSU prend les contacts, suivez ce blog et on vous tiendra au courant des actions...

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18 novembre 2005 5 18 /11 /novembre /2005 08:49

La FSU nationale a signé l'appel national unitaire contre l'état d'urgence intitulé :

"Non au régime d'eception Pour un état d'urgence social"

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/0/03/42/22/docs/appel-unitaire-du-16-11-05.pdf

Un premier rassemblement a eu lieu mardi 15 novembre 2005 devant la préfecture, d'autres suivront.

 

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11 novembre 2005 5 11 /11 /novembre /2005 00:00

Texte Action Du CDFN FSU des 8 et 9 Novembre 2005.

La crise que connaissent des quartiers ghettos ou sensibles s'explique par le développement des inégalités, du chômage et de la précarité, par le recul organisé des services publics, de leur présence sur tout le territoire mais aussi des moyens qui devraient leur permettre de répondre aux besoins de tous. C'est une conséquence dramatique d'une politique marquée depuis des années par les régressions sociales et par des choix inspirés du néolibéralisme. La crise ne peut se réduire à celle de la jeunesse même si elle est la première concernée par le manque de perspectives. L'intransigeance gouvernementale et son refus de toute négociation avec les organisations syndicales plongent l'ensemble de la société dans une impasse.

Dans ce contexte l'utilisation d'une loi d'exception instaurant un couvre-feu et datant de la guerre d'Algérie est une provocation désastreuse.

La ségrégation urbaine n'a fait que s'accroître ces dernières années, avec des quartiers concentrant des populations de plus en plus exclues. La « politique de la ville » n'a jamais été à la hauteur de ces défis. 

L'éducation prioritaire n'a jamais reçu les moyens de compenser  véritablement les difficultés économiques et sociales des enfants et des jeunes qui lui étaient confiés. La fracture n'a fait que se creuser entre établissements scolaires accentuée par une décentralisation qui met de plus en plus les établissements en concurrence et favorise les contournements de la carte scolaire. Les jeunes de ces quartiers se trouvent confrontés de plus en plus à l'échec scolaire, aux discriminations et au chômage de masse. Ils font l'objet d'humiliations (contrôles policiers), de provocations et de stigmatisations sur fond de racisme latent.

En réduisant les impôts les plus redistributifs, en remettant en cause les garanties collectives, les droits sociaux, le code du travail et les services publics, en accentuant la précarité et les politiques de ségrégation et d'exclusion sociales, la politique des gouvernements Raffarin puis de Villepin tournent le dos à toutes les aspirations exprimées par le mouvement social. Le refus du Gouvernement de répondre aux revendications du 4 octobre en est la dernière illustration. L'absence délibérée de dialogue social et la recherche systématique du passage en force, comme le montre l'interdiction de la grève à la RTM, ne font qu'accentuer la crise comme le montre l'interdiction de la grève à la RTM.

Aujourd'hui la jeunesse la plus en difficulté est la première victime de cette politique tant par l'absence de perspective sociale que par la stigmatisation dont elle est l'objet.

Dans ce contexte le ministre de l'intérieur porte une lourde responsabilité tant par ses propos provocateurs que par une politique incitant à l'affrontement permanent de la police avec la jeunesse.

Depuis longtemps les personnels qui travaillent dans ces quartiers et en particulier les personnels de l'éducation, les travailleurs sociaux et ceux chargés de l'insertion vivent des situations de plus en plus insupportables et alertent, notamment par des actions revendicatives, sur la gravité de la situation : on a refusé de les entendre, les privant chaque jour un peu plus des moyens de faire face.

Si la violence qui se manifeste depuis près de deux semaines n'est pas nouvelle, la nouveauté réside dans sa généralisation et sa durée ; ses conséquences risquent d'être dramatiques, y compris par son caractère autodestructeur.

La FSU assure toutes les victimes de sa solidarité et appelle au retour au calme. Cela passe d'abord par l'exigence que toute la vérité soit faite sur le drame de Clichy.
Stopper les violences et rétablir les solidarités est une nécessité. Mais l'arrêt de la violence ne peut  passer par une surenchère de répressions, par une dramatisation orchestrée, ni par une stigmatisation accrue d'un certain nombre de quartiers ou la criminalisation de toute une jeunesse. Le recours à des procédures expéditives (comparutions d'urgence) qui ne garantissent pas les droits à une justice sereine et équitable est inacceptable. Les banlieues n'ont pas besoin d'état d'exception : elles ont besoin désespérément de justice, de respect , d'égalité et de perspectives. Le recours au dialogue et à la médiation s'impose ainsi que des signaux forts montrant que le gouvernement a pris la mesure de la situation sur le terrain social et économique..

Ce n'est pas la voie qu'a choisie le gouvernement Villepin : en ignorant délibérément les raisons de la crise, il fait le choix d'accentuer sa politique d'exclusion et de régression. Il dramatise à dessein en décrétant l'état d'urgence qui remet en cause les libertés publiques et peut pousser à l'affrontement. Chaque fois que les libertés publiques seront remises en cause, la FSU s'attachera à proposer aux organisations syndicales et associations de terrain de se réunir pour réagir collectivement avec l'ensemble de la population.

Au lieu d'apporter de premières réponses, notamment budgétaires, permettant une lutte efficace contre l'échec scolaire et les discriminations,  le Premier ministre symbolise et accentue les orientations de la loi Fillon en proposant d'abaisser à 14 ans l'accès à l'apprentissage organisant en réalité l'éviction précoce du système scolaire des élèves les plus en difficulté. Il remet ainsi en cause l'âge de la scolarité obligatoire. Cette annonce est d'autant plus démagogique que l'apprentissage est déjà pour les jeunes en difficulté marquée par une formation générale réduite de moitié, des abandons massifs en cours de formation, un refus quasi systématique des entreprises de les accueillir. Elle est contestée, y compris dans les rangs des représentants de l'artisanat : l'UPA déclare qu'elle ne peut constituer une réponse pérenne aux difficultés d'insertion des jeunes et qu'elle ne répond pas à la priorité des entreprises artisanales.

Alors que Gilles de Robien aurait dû s'exprimer sur la nécessaire relance de l'éducation prioritaire et sur le fait qu'il faut faire beaucoup plus pour ces jeunes, les déclarations se limitent à la confirmation des choix du gouvernement. Si le recrutement de 5 000 assistants pédagogiques pour les 1 200 collèges les plus sensibles constitue un début de rattrapage, après la suppression de milliers de postes d'encadrement éducatifs ces trois dernières années, cette mesure n'est pas à la hauteur des enjeux et renforce par ailleurs la précarité dans l'éducation nationale.

Le Premier Ministre propose que tous les jeunes au chômage de ces quartiers passent un entretien à l'ANPE sans que les agents de celle-ci aient les moyens de les recevoir et surtout de leur proposer de vraies solutions vers l'emploi ou la formation professionnelle. Aucune des solutions qui s'imposent ou des propositions que nos syndicats proposent n'est simplement prise en compte.

Il est indispensable de modifier profondément les politiques économiques et sociales à la fois pour sortir de cette crise et pour répondre aux aspirations et attentes que les salariés ont exprimées jusqu'ici en vain. Il est urgent de casser la spirale du fatalisme, de la désespérance et de la violence en prenant en compte ce qui s'exprime depuis des mois sous des formes diverses.

La crise actuelle suppose de déclarer l'urgence sociale.

Dans le prolongement du texte commun « Non à l'état d'exception », le CDFN rappelle son exigence d'une politique ambitieuse pour la jeunesse et donne mandat au secrétariat de rédiger un appel dans ce sens.  Dès maintenant, la FSU appelle les personnels à développer les initiatives les plus larges pour le dialogue avec les jeunes et la population contre les violences et pour imposer des mesures sociales d'urgence et refuser  l'état  d'exception.
La FSU confirme l'appel à assurer largement la réussite de la manifestation nationale pour la défense des services publics le 19 novembre : elle dépose un préavis de grève pour couvrir les personnels qui en auront besoin pour participer à la manifestation.

La FSU considère indispensable une action interprofessionnelle de haut niveau incluant la grève pour l'emploi, les salaires, les pensions, les services publics et l'école, contre les discriminations, la précarité et les inégalités : elle prend acte de la proposition de la CGT et  fera tout pour qu'elle débouche sur une action la plus large possible.

En tout état de cause, la FSU s'efforcera de créer les conditions pour un appel à l'action des fédérations de fonctionnaires sur les salaires, l'emploi, la défense des statuts et des services publics.

La FSU travaillera avec les fédérations de l'éducation, les parents et les associations à une interpellation du Premier ministre afin que soient prises des mesures d'urgence pour la jeunesse en terme de justice sociale, de non discrimination et de moyens pour l'Ecole.

Dans l'éducation le CDFN appelle à la réussite de la grève du 24 novembre dans le second degré  et au succès de la journée d'action sup/recherche du 23. Les décisions du Gouvernement, entérinant l'abandon de l'ambition d'une réussite pour tous les jeunes, confirment la nécessité d'une action de grève ou de manifestation nationale la plus unitaire possible contre la politique éducative du gouvernement, la loi Fillon, pour le maintien du collège pour tous et pour d'autres choix budgétaires. La FSU s'engage à construire ce mouvement avec les personnels, les jeunes et les parents.

Les élections professionnelles du 6 décembre revêtent, dans ce contexte, une importance particulière. Elles sont au coeur des enjeux sociaux du moment. Les personnels ont absolument besoin d'un syndicalisme fort, revendicatif et de lutte qui rassemble largement dans son secteur. Le CDFN appelle les personnels à participer largement au scrutin et à y assurer le succès des syndicats de la FSU.

Le CDFN soutient les initiatives prises dans le cadre de la négociation de la convention UNEDIC. La nouvelle convention doit assurer un revenu de remplacement de haut niveau, ouvrir l'accès aux indemnisations en tenant compte de toutes les situations d'exclusion et de précarité. Elle doit maintenir la non- dégressivité, augmenter la durée d'indemnisation et assurer la refonte du fonctionnement de l'UNEDIC. L'appel des quatre organisations de chômeurs pour une journée nationale d'action et de manifestation le 3 décembre peut être le support d'un tel rassemblement.

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25 mars 2005 5 25 /03 /mars /2005 00:00

 Le Parlement français a adopté définitivement jeudi soir le projet de loi d'orientation sur l'école ...

Après l'Assemblée dans l'après-midi, le Sénat a, à son tour, entériné dans la soirée par 200 voix contre 125 le texte mis au point mardi par une commission mixte paritaire (CMP) Assemblée-Sénat.

Les groupes UMP et UDF ont voté pour au Sénat mais à l'assemblée, l'UDF s'est abstenue.

Les groupes PS et PCR ainsi que les élus Verts, qui ont mené une bataille d'amendements et de procédure, ont voté contre.

(d'après une dépêche d'agence).

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25 mars 2005 5 25 /03 /mars /2005 00:00

Vous trouverez ci-joint le texte de la loi Fillon ...

Bon week-end quand même !http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/0/03/42/22/docs/loifillon.pdf

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